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Comme une union d’un signal
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Pensées pour ces terriens
Dont l’âme ne sait rien
De bien quand celle à qui
Echoit dans un maquis
De règles et de lois
D’agir nouvel Eloi
De ces modernes mois
Pour avertir son moi
Que lui trop culotté
Mal pour que l’eût ôté
Bon prince aux amis airs
De ce lieu de misères
On veut se mettre en paix
Comme un chat qui rampait
Quand ne nous voilà guère
Qu’un aigre chiot grégaire
Le sort du savetier
Iodlant des soirs entiers
Ne nous est atteignable
Que par voies dédaignables
Car par trop ignorées
Pour les améliorer
Même de logorrhée
Apte à revigorer
Le candide qui n’a
Rien qui l’enquiquinât
Voudrait bien contribuer
Mais quoi lui attribuer
Prière pour des saints
Ignorant d’un dessein
En faisant passer trop
Pour démons ancestraux
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