*
Les neiges sont éternelles
*
D’où vient que l’on déjeune
De graves maladies
Pour des toujours plus jeunes
Quoi nous en irradie
Pas du tout corrélées
Avec ignorer les
Lois les plus essentielles
De la vie sous ces ciels
Centres-villes non vertes
Font huit fois plus de pertes
Mais si tel déboursait
Des pourcents trop lourd c’est
Tous vos espoirs renaissent
Si l’on peut repolluer
Quand ces maux évoluer
Jusque dans la jeunesse
Si rien de ça vous gêne
Vous pouvez renoncer
A autant dénoncer
Qu’on en veut à vos gènes
Où il est le bon sens
Noyé dans votre essence
N’allant pas dans le sens
De vos concupiscences
Faites donc votre fête
D’inconscience parfaite
En hauts d’hôpitaux mis
Grâce aux économies
Les relations glaciales
Des passions commerciales
Ne sont pas près de fondre
Sur les moutons
à tondre
*